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Paolino, la juste cause et la bonne raison


Le voyage introspectif de Paolino, joué par Charles Aznavour, qui cherche sa voie entre conviction personnelle et quête de justice.

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« Je ne suis qu'une pierre du chemin, une pierre sur laquelle on se repose un instant, une pierre que l'on quitte avec indifférence sans un regard en arrière. »


Ce film, issu de l'œuvre originale d'Alberto Bruni Tedeschi et porté par l'orchestre symphonique de Bucarest, met en scène Charles Aznavour, un homme broyé par la solitude. Fils de personne, il cultive des fleurs et les vend pour acheter du vin. Seul, cherchant désespérément à fuir la mélancolie, il dialogue avec deux figures allégoriques : la Juste Cause et la Bonne Raison. Le récit aborde des thèmes profonds tels que l'isolement, le doute et la résignation humaine. Cette version télévisuelle a marqué les débuts à l'écran de Valeria Bruni Tedeschi, qui y interprète l'un des rôles principaux. L'œuvre originale d'Alberto Bruni Tedeschi a été saluée pour sa profondeur philosophique et sa capacité à mêler musique classique et complexité de la condition humaine.


Paolino, la juste cause et la bonne raison


  • Réalisation : François Reichenbach et Patrice Poiré
  • Scénario : François Reichenbach
  • Texte et musique d'Alberto Bruni Tedeschi
  • Adaptation de l'opéra de chambre "Paolino, la giusta causa e una buona ragione" composé par Alberto Bruni Tedeschi
  • Musique interprété par l'orchestre symphonique de Bucarest
  • Acteurs : Charles Aznavour, Martin Egel, Valeria Bruni Tedeschi, Isabelle Von Karajan
  • Directeur de la photographie : Roland Dantigny
  • Cadreur : Alain Gaillard
  • Monteur : Georges Klotz
  • Image : François Reichenbach
  • Directeur de production : Guy Joussemet
  • Société de production : King productions
  • Genre : Fiction, drame
  • Durée : 40 minutes
  • Date de sortie : 1972